Liste des émissions
Sur PLANÈTE+, le monde se révèle plus grand. Découvrez des productions de grande qualité, des documentaires toujours plus étonnants et émouvants : notre planète vous réserve encore bien des surprises!

Iditarod: La dernière course de Nicolas Vanier
En mars 2017, Nicolas Vanier et sa meute de chiens ont pris le départ de la plus grande et la plus célèbre course de traîneaux, l'Iditarod. Sur 1.800 kilomètres, elle traverse l'Alaska d'Anchorage jusqu'à Nôme et une centaine d'attelage y prend part. Ce documentaire retrace les neuf jours de course de l'aventurier et de ses seize p'tits chiens, comme il les appelle.

Idjanga, la forêt aux gorilles
En 2019, le Gabon s'est lancé dans un ambitieux projet visant de gestion durable de ses forêts. C'est le combat de dix ans d'un homme passionné, Max Huderbourcq, qui se bat au cœur des exploitations d'Afrique centrale pour faire vivre ensemble l'homme et la nature dans des zones où la biodiversité est menacée. Cette année, Max "retourne au combat" en menant sa dernière expédition d'observation des gorilles.

Islande, des plumes qui valent de l'or
Traversé par les fjords, le nord-est de l’Islande est le théâtre d’une symbiose fascinante entre l’être humain et l’animal. C’est ici que nichent les eiders arctiques, grands canards plongeurs au plumage exceptionnel. Depuis des centaines d’années, ils fournissent aux êtres humains le plus précieux duvet au monde. En effet ces palmipèdes sauvages laissent les fermiers retirer les plumes de leur nid tandis que ceux-ci en échange veillent à ce que leurs couvées ne deviennent pas le festin des mouettes et autres renards polaires. Fjord inhabité, le Loðmundarfjörður est uniquement accessible par bateau pendant les brefs mois que dure l’été islandais. Avec les beaux jours, le fermier Ólafur Aðalsteinsson, sa femme et un couple d’amis mettent le cap sur ces lieux reculés. C’est la période ou les canards viennent pondre et couver leurs œufs. Les fines plumes du nid sont très appréciées pour leurs propriétés isolantes uniques. Les oreillers et les édredons garnis de ce précieux duvet coûtent généralement plusieurs milliers d’euros. Pourtant, seuls quelques-uns des 380 fermiers islandais parviennent à vivre exclusivement de cette récolte. Contrairement à Ólafur Aðalsteinsson, Óðinn Logi doit gagner sa vie et subvenir aux besoins de sa famille en multipliant les activités. Chaque printemps, lui et les siens partent ramasser les œufs exposés aux affres de la marée par des canes un peu distraites. Les œufs ramassés seront alors mis dans une couveuse installée dans un garage. Nouvelle venue dans le secteur, Íris Birgisdóttir a transformé l’ancienne bergerie de son oncle en une ferme à eiders. Depuis quelques années, elle s’occupe seule de cette exploitation. Reste à savoir si la jeune veuve parviendra à s’imposer durablement. Ólafur Aðalsteinsson est déjà plus avancé : rien que cette saison, il récoltera plus de 300 kilos de duvet. Sans qu’un seul canard ne soit blessé.