
Aux Frontières
O.T.A.N vs Milosevic dans la poudrières des balkans
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O.T.A.N vs Milosevic dans la poudrières des balkans
Réalisateur :
Agnès Nabat
Synopsis
En mars 1999, une coalition internationale, menée par les Etats-Unis, lance une opération militaire sur la Serbie, petit pays au cœur des Balkans. En quelques jours, de nombreuses bombes sont lâchées par des avions de l’OTAN. Aujourd’hui, il apparait que les raisons de cette intervention soient plus complexes qu’il n’y parait. En effet, il semblerait que les Etats-Unis, se sentant coupables de ne pas être intervenus en Bosnie, et cherchant à réaffirmer leur influence en Europe, aient déclenché une opération qui n’était pas indispensable. Cette campagne, présentée comme une réussite à l’époque, a été mal préparée et a eu des résultats controversés.
Prochaine diffusion Cette émission n'est plus en diffusion.
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L'îlot Persil : Le rocher de la discorde
11 juillet 2002… A l’aube, une escouade de six gardes côtes marocains débarque sur l’ilot Persil, un minuscule territoire situé à 160 mètres à peine des côtes méditerranéennes du Royaume Chérifien. Leur objectif ? Réaliser un coup d’éclat, en y plantant un drapeau marocain pour contester la souveraineté espagnole sur cet îlot, partie intégrante de l’enclave de Ceuta depuis l’indépendance de 1956. Cette action spectaculaire, découlant de plus de 60 années d’un conflit larvé entre les deux pays, va alors déboucher sur une crise diplomatique de premier plan, opposant le gouvernement espagnol au roi Mohamed VI.

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EGO TE ABSOLVO : Histoire d'une réseau nazi au Vatican
A la fin de la Deuxième guerre mondiale, une filière d’exfiltration de nazis se met en place en Italie en s’appuyant sur la délivrance par le Vatican de passeports de la Croix-Rouge. Cela se fait grâce à la section allemande d’une commission d’assistance pontificale aux réfugiés de guerre qui est confiée à l’évêque Alois Hudal, le prélat le plus pro nazi de toute la hiérarchie catholique. Ce dernier fait délivrer des passeports qui vont permettre d’exfiltrer par le port de Gênes des criminels de guerre.

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Août 1994 : Quand les Africains libèrent la Provence
A partir de novembre 1942, à la suite du débarquement anglo-américain en Afrique du Nord, l’armée française, éparpillée après la débâcle de 1940, se reconstitue peu à peu sur le continent africain. De leur côté, les Forces Françaises Libres, qui comptent dans leur rang un fort pourcentage de ressortissants des colonies majoritairement d’Afrique noire, fusionnent avec l’armée d’Afrique. C’est ainsi que plus de la moitié des combattants qui ont débarqué ce 15 août 1944 en Provence venait d’Afrique noire et d’Afrique du Nord. Tirailleurs, spahis et autres goumiers ont participé à la victoire française sur le nazisme.

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Août 1994 : Quand les Africains libèrent la Provence
A partir de novembre 1942, à la suite du débarquement anglo-américain en Afrique du Nord, l’armée française, éparpillée après la débâcle de 1940, se reconstitue peu à peu sur le continent africain. De leur côté, les Forces Françaises Libres, qui comptent dans leur rang un fort pourcentage de ressortissants des colonies majoritairement d’Afrique noire, fusionnent avec l’armée d’Afrique. C’est ainsi que plus de la moitié des combattants qui ont débarqué ce 15 août 1944 en Provence venait d’Afrique noire et d’Afrique du Nord. Tirailleurs, spahis et autres goumiers ont participé à la victoire française sur le nazisme.

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Liban Rouge - Des kamikazes au pays des Fedayin
Le 30 mai 1972, un attentat meurtrier frappe l’aéroport de Tel-Aviv. Alors que les images du massacre qui a fait 26 morts et plus de 80 blessés, tournent en boucle sur les chaines de télévision du monde entier, tous les regards se tournent vers le Front de Libération de la Palestine (FLP), accusé désormais de frapper aveuglément les civils israéliens. Pourtant, les auteurs de cet attentat kamikaze, le premier du genre au Moyen-Orient, viennent d’un pays bien plus lointain : le Japon. Depuis plusieurs mois, de nombreux combattants de l’Armée Rouge Japonaise, pourchassés dans leur pays, ont rejoint le Liban pour s’engager aux côtés de leurs frères d’armes du FLP dans une lutte menée à la fois contre l’État d’Israël et son allié Américain.

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Le 30 mai 1972, un attentat meurtrier frappe l’aéroport de Tel-Aviv. Alors que les images du massacre qui a fait 26 morts et plus de 80 blessés, tournent en boucle sur les chaines de télévision du monde entier, tous les regards se tournent vers le Front de Libération de la Palestine (FLP), accusé désormais de frapper aveuglément les civils israéliens. Pourtant, les auteurs de cet attentat kamikaze, le premier du genre au Moyen-Orient, viennent d’un pays bien plus lointain : le Japon. Depuis plusieurs mois, de nombreux combattants de l’Armée Rouge Japonaise, pourchassés dans leur pays, ont rejoint le Liban pour s’engager aux côtés de leurs frères d’armes du FLP dans une lutte menée à la fois contre l’État d’Israël et son allié Américain.

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