
48 heures
Épisode 10 - La garde à vue d'Alain Berruet
48 heures
Épisode 10 - La garde à vue d'Alain Berruet
Réalisateur :
Pablo Lopez
Synopsis
Après le meurtre de Maëva Rousseau, en avril 2012, l'enquête piétine jusqu'à ce que les policiers interpellent Alain Berruet, un proche de la famille Rousseau.
Prochaine diffusion Mercredi 25 Juin à 21:00 | Durée: 00:01:00
Rediffusions
Voir aussi

48 heures
Épisode 7 - La garde à vue de Maurice Boiteux
Le 24 juillet 2012 à 8 heures du matin, le village de Doué-la-Fontaine dans le Maine-et-Loire se réveille au son des sirènes des pompiers. Yvette Julien, 90 ans, est retrouvée dans une mare de sang sur le carrelage de sa cuisine, gravement blessée. La maison a été fouillée mais les portes et les fenêtres sont fermées. Elle survivra avec d'importantes séquelles. Attaquée de dos, elle ne pourra fournir aucun renseignement aux enquêteurs de la Section de Recherche d'Angers. Dix mois plus tard, les enquêteurs interpellent son neveu, Maurice Boiteux, conducteur de bus, garagiste et chef d'entreprise à la retraite. Il vit dans les Vosges, à 700 km de là…

48 heures
Épisode 8 - La garde à vue de Jacques Rançon
Par une nuit d'automne en 1995, Tatiana Anjar, 17 ans, s'évanouit dans la nature sans laisser de trace. Quelques années plus tard, les cadavres de Mokataria Chaib et de Marie-Hélène Gonzales vont être retrouvés atrocement mutilés. Ces trois jeunes femmes, jolies et brunes, ont tour à tour disparu la nuit aux abords de la gare de Perpignan entre 1995 et 1998. Alors que l'enquête piétine et s'égare dans de multiples pistes, un homme est confondu par son ADN le 10 octobre 2014. Après des années de traque et une enquête hors norme, le suspect est appréhendé par les agents de la PJ dans un foyer en banlieue.

48 heures
Épisode 9 - La garde à vue de Nicolas Charbonnier
En 1985, celui que la presse surnomme "l'étrangleur de la Robertsau", fait régner la terreur dans un quartier résidentiel de Strasbourg. Il s'introduit de nuit dans des appartements où il inflige des sévices sexuels à des jeunes filles et les étrangle. En 1986, la série de crimes s'arrête au bout de quelques mois mais le violeur reste introuvable. 27 ans plus tard, lors d'une dernière tentative d'identification, une empreinte palmaire retrouvée chez une des victimes correspond avec celle d'un homme sans histoire. Il s'agit de Nicolas Charbonnier, 52 ans, habitant à Bordeaux. L'homme vivait à Strasbourg au moment des faits.

48 heures
Épisode 4 - La garde à vue de Christian Van Geloven
Le 19 octobre 1991, à Elne, deux fillettes de 10 ans sont portées disparues. Dès le lendemain, fouilles et battues sont organisées. Les jours suivants, les recherches se poursuivent et l’impensable devient vraisemblable : Ingrid et Muriel ont été enlevées. L’émotion est nationale. Les enquêteurs disposent d’un seul indice : un témoin dit avoir vu un homme dans une voiture blanche. Plus tard, par téléphone, quelqu’un donne le nom d’un homme, déjà condamné pour des actes de pédophilie, qui se trouve dans la région au moment des faits. L’hypothèse semble sérieuse. Il faut faire vite, car les petites sont peut-être encore en vie.

48 heures
Épisode 3 - La garde à vue de Jean-Yves Morel
Le 2 Juillet 1997, en Normandie, John Griffin signale la disparition de sa fille de 23 ans, Elisabeth. Sa voiture est retrouvée sur le parking d’une cité de Lillebonne avec sont sac à main contenant deux petits bouts de papier. L’un avec un numéro de téléphone, celui d’un certain Jean-Yves Morel, l’autre sur lequel est griffonné « Fred, le 24, à 10 heures, ». Après trois mois d’enquête, il ne reste qu'un nom. Jean Yves Morel est un homme sans histoire de 33 ans, marié, père de famille. Coïncidence troublante pour les enquêteurs : Marylène, la belle-sœur de Morel, avait disparu elle aussi un an auparavant. Le 9 octobre 1997, Jean-Yves Morel est convoqué à la gendarmerie. Il est 9h00 du matin. Sa garde à vue commence.

48 heures
Épisode 4 - La garde à vue de Christian Van Geloven
Le 19 octobre 1991, à Elne, deux fillettes de 10 ans sont portées disparues. Dès le lendemain, fouilles et battues sont organisées. Les jours suivants, les recherches se poursuivent et l’impensable devient vraisemblable : Ingrid et Muriel ont été enlevées. L’émotion est nationale. Les enquêteurs disposent d’un seul indice : un témoin dit avoir vu un homme dans une voiture blanche. Plus tard, par téléphone, quelqu’un donne le nom d’un homme, déjà condamné pour des actes de pédophilie, qui se trouve dans la région au moment des faits. L’hypothèse semble sérieuse. Il faut faire vite, car les petites sont peut-être encore en vie.

48 heures
Épisode 5 - La garde à vue de Jean-Stéphane Saizelet et de Nadège Wiktorska
En juillet 1995, un appel anonyme informe la police que le décès d'un homme, Jean-Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait un meurtre. L'autopsie de son corps récupéré juste avant l'incinération confirme l'homicide. Les policiers interpellent un couple. Mais, lors de cette arrestation, l'homme prétend s'appeler Jean-Bernard Wiktorska, c'est-à-dire qu'il donne l'identité du mort.

48 heures
Épisode 3 - La garde à vue de Jean-Yves Morel
Le 2 Juillet 1997, en Normandie, John Griffin signale la disparition de sa fille de 23 ans, Elisabeth. Sa voiture est retrouvée sur le parking d’une cité de Lillebonne avec sont sac à main contenant deux petits bouts de papier. L’un avec un numéro de téléphone, celui d’un certain Jean-Yves Morel, l’autre sur lequel est griffonné « Fred, le 24, à 10 heures, ». Après trois mois d’enquête, il ne reste qu'un nom. Jean Yves Morel est un homme sans histoire de 33 ans, marié, père de famille. Coïncidence troublante pour les enquêteurs : Marylène, la belle-sœur de Morel, avait disparu elle aussi un an auparavant. Le 9 octobre 1997, Jean-Yves Morel est convoqué à la gendarmerie. Il est 9h00 du matin. Sa garde à vue commence.

48 heures
Épisode 5 - La garde à vue de Jean-Stéphane Saizelet et de Nadège Wiktorska
En juillet 1995, un appel anonyme informe la police que le décès d'un homme, Jean-Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait un meurtre. L'autopsie de son corps récupéré juste avant l'incinération confirme l'homicide. Les policiers interpellent un couple. Mais, lors de cette arrestation, l'homme prétend s'appeler Jean-Bernard Wiktorska, c'est-à-dire qu'il donne l'identité du mort.

48 heures
Épisode 3 - La garde à vue de Jean-Yves Morel
Le 2 Juillet 1997, en Normandie, John Griffin signale la disparition de sa fille de 23 ans, Elisabeth. Sa voiture est retrouvée sur le parking d’une cité de Lillebonne avec sont sac à main contenant deux petits bouts de papier. L’un avec un numéro de téléphone, celui d’un certain Jean-Yves Morel, l’autre sur lequel est griffonné « Fred, le 24, à 10 heures, ». Après trois mois d’enquête, il ne reste qu'un nom. Jean Yves Morel est un homme sans histoire de 33 ans, marié, père de famille. Coïncidence troublante pour les enquêteurs : Marylène, la belle-sœur de Morel, avait disparu elle aussi un an auparavant. Le 9 octobre 1997, Jean-Yves Morel est convoqué à la gendarmerie. Il est 9h00 du matin. Sa garde à vue commence.

48 heures
Épisode 3 - La garde à vue de Jean-Yves Morel
Le 2 Juillet 1997, en Normandie, John Griffin signale la disparition de sa fille de 23 ans, Elisabeth. Sa voiture est retrouvée sur le parking d’une cité de Lillebonne avec sont sac à main contenant deux petits bouts de papier. L’un avec un numéro de téléphone, celui d’un certain Jean-Yves Morel, l’autre sur lequel est griffonné « Fred, le 24, à 10 heures, ». Après trois mois d’enquête, il ne reste qu'un nom. Jean Yves Morel est un homme sans histoire de 33 ans, marié, père de famille. Coïncidence troublante pour les enquêteurs : Marylène, la belle-sœur de Morel, avait disparu elle aussi un an auparavant. Le 9 octobre 1997, Jean-Yves Morel est convoqué à la gendarmerie. Il est 9h00 du matin. Sa garde à vue commence.

48 heures
Épisode 5 - La garde à vue de Jean-Stéphane Saizelet et de Nadège Wiktorska
En juillet 1995, un appel anonyme informe la police que le décès d'un homme, Jean-Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait un meurtre. L'autopsie de son corps récupéré juste avant l'incinération confirme l'homicide. Les policiers interpellent un couple. Mais, lors de cette arrestation, l'homme prétend s'appeler Jean-Bernard Wiktorska, c'est-à-dire qu'il donne l'identité du mort.

48 heures
Épisode 4 - La garde à vue de Christian Van Geloven
Le 19 octobre 1991, à Elne, deux fillettes de 10 ans sont portées disparues. Dès le lendemain, fouilles et battues sont organisées. Les jours suivants, les recherches se poursuivent et l’impensable devient vraisemblable : Ingrid et Muriel ont été enlevées. L’émotion est nationale. Les enquêteurs disposent d’un seul indice : un témoin dit avoir vu un homme dans une voiture blanche. Plus tard, par téléphone, quelqu’un donne le nom d’un homme, déjà condamné pour des actes de pédophilie, qui se trouve dans la région au moment des faits. L’hypothèse semble sérieuse. Il faut faire vite, car les petites sont peut-être encore en vie.

48 heures
Épisode 3 - La garde à vue de Jean-Yves Morel
Le 2 Juillet 1997, en Normandie, John Griffin signale la disparition de sa fille de 23 ans, Elisabeth. Sa voiture est retrouvée sur le parking d’une cité de Lillebonne avec sont sac à main contenant deux petits bouts de papier. L’un avec un numéro de téléphone, celui d’un certain Jean-Yves Morel, l’autre sur lequel est griffonné « Fred, le 24, à 10 heures, ». Après trois mois d’enquête, il ne reste qu'un nom. Jean Yves Morel est un homme sans histoire de 33 ans, marié, père de famille. Coïncidence troublante pour les enquêteurs : Marylène, la belle-sœur de Morel, avait disparu elle aussi un an auparavant. Le 9 octobre 1997, Jean-Yves Morel est convoqué à la gendarmerie. Il est 9h00 du matin. Sa garde à vue commence.

48 heures
Épisode 5 - La garde à vue de Jean-Stéphane Saizelet et de Nadège Wiktorska
En juillet 1995, un appel anonyme informe la police que le décès d'un homme, Jean-Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait un meurtre. L'autopsie de son corps récupéré juste avant l'incinération confirme l'homicide. Les policiers interpellent un couple. Mais, lors de cette arrestation, l'homme prétend s'appeler Jean-Bernard Wiktorska, c'est-à-dire qu'il donne l'identité du mort.

48 heures
Épisode 6 - La garde à vue du couple Bruyas
Le 30 mai 1995, à Saint-Andéol-le-Château, près de Lyon, les époux Bébien et deux de leurs enfants périssent dans un incendie qui ravage leur maison. Mais l'enquête démontre que tous sont décédés avant le départ de feu. Ils ont été abattus à bout portant par la même arme. Les gendarmes sont persuadés que ce quadruple meurtre n'a pu être commis que par un proche. Ce drame pourrait être imputé à la fille aînée, Samantha, et à son mari, Eric Bruyas. La garde à vue commence le 14 juin dans les locaux de la gendarmerie de Givors.

48 heures
Épisode 4 - La garde à vue de Christian Van Geloven
Le 19 octobre 1991, à Elne, deux fillettes de 10 ans sont portées disparues. Dès le lendemain, fouilles et battues sont organisées. Les jours suivants, les recherches se poursuivent et l’impensable devient vraisemblable : Ingrid et Muriel ont été enlevées. L’émotion est nationale. Les enquêteurs disposent d’un seul indice : un témoin dit avoir vu un homme dans une voiture blanche. Plus tard, par téléphone, quelqu’un donne le nom d’un homme, déjà condamné pour des actes de pédophilie, qui se trouve dans la région au moment des faits. L’hypothèse semble sérieuse. Il faut faire vite, car les petites sont peut-être encore en vie.

48 heures
Épisode 6 - La garde à vue du couple Bruyas
Le 30 mai 1995, à Saint-Andéol-le-Château, près de Lyon, les époux Bébien et deux de leurs enfants périssent dans un incendie qui ravage leur maison. Mais l'enquête démontre que tous sont décédés avant le départ de feu. Ils ont été abattus à bout portant par la même arme. Les gendarmes sont persuadés que ce quadruple meurtre n'a pu être commis que par un proche. Ce drame pourrait être imputé à la fille aînée, Samantha, et à son mari, Eric Bruyas. La garde à vue commence le 14 juin dans les locaux de la gendarmerie de Givors.

48 heures
Épisode 4 - La garde à vue de Christian Van Geloven
Le 19 octobre 1991, à Elne, deux fillettes de 10 ans sont portées disparues. Dès le lendemain, fouilles et battues sont organisées. Les jours suivants, les recherches se poursuivent et l’impensable devient vraisemblable : Ingrid et Muriel ont été enlevées. L’émotion est nationale. Les enquêteurs disposent d’un seul indice : un témoin dit avoir vu un homme dans une voiture blanche. Plus tard, par téléphone, quelqu’un donne le nom d’un homme, déjà condamné pour des actes de pédophilie, qui se trouve dans la région au moment des faits. L’hypothèse semble sérieuse. Il faut faire vite, car les petites sont peut-être encore en vie.

48 heures
Épisode 4 - La garde à vue de Christian Van Geloven
Le 19 octobre 1991, à Elne, deux fillettes de 10 ans sont portées disparues. Dès le lendemain, fouilles et battues sont organisées. Les jours suivants, les recherches se poursuivent et l’impensable devient vraisemblable : Ingrid et Muriel ont été enlevées. L’émotion est nationale. Les enquêteurs disposent d’un seul indice : un témoin dit avoir vu un homme dans une voiture blanche. Plus tard, par téléphone, quelqu’un donne le nom d’un homme, déjà condamné pour des actes de pédophilie, qui se trouve dans la région au moment des faits. L’hypothèse semble sérieuse. Il faut faire vite, car les petites sont peut-être encore en vie.

48 heures
Épisode 6 - La garde à vue du couple Bruyas
Le 30 mai 1995, à Saint-Andéol-le-Château, près de Lyon, les époux Bébien et deux de leurs enfants périssent dans un incendie qui ravage leur maison. Mais l'enquête démontre que tous sont décédés avant le départ de feu. Ils ont été abattus à bout portant par la même arme. Les gendarmes sont persuadés que ce quadruple meurtre n'a pu être commis que par un proche. Ce drame pourrait être imputé à la fille aînée, Samantha, et à son mari, Eric Bruyas. La garde à vue commence le 14 juin dans les locaux de la gendarmerie de Givors.

48 heures
Épisode 5 - La garde à vue de Jean-Stéphane Saizelet et de Nadège Wiktorska
En juillet 1995, un appel anonyme informe la police que le décès d'un homme, Jean-Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait un meurtre. L'autopsie de son corps récupéré juste avant l'incinération confirme l'homicide. Les policiers interpellent un couple. Mais, lors de cette arrestation, l'homme prétend s'appeler Jean-Bernard Wiktorska, c'est-à-dire qu'il donne l'identité du mort.

48 heures
Épisode 4 - La garde à vue de Christian Van Geloven
Le 19 octobre 1991, à Elne, deux fillettes de 10 ans sont portées disparues. Dès le lendemain, fouilles et battues sont organisées. Les jours suivants, les recherches se poursuivent et l’impensable devient vraisemblable : Ingrid et Muriel ont été enlevées. L’émotion est nationale. Les enquêteurs disposent d’un seul indice : un témoin dit avoir vu un homme dans une voiture blanche. Plus tard, par téléphone, quelqu’un donne le nom d’un homme, déjà condamné pour des actes de pédophilie, qui se trouve dans la région au moment des faits. L’hypothèse semble sérieuse. Il faut faire vite, car les petites sont peut-être encore en vie.

48 heures
Épisode 6 - La garde à vue du couple Bruyas
Le 30 mai 1995, à Saint-Andéol-le-Château, près de Lyon, les époux Bébien et deux de leurs enfants périssent dans un incendie qui ravage leur maison. Mais l'enquête démontre que tous sont décédés avant le départ de feu. Ils ont été abattus à bout portant par la même arme. Les gendarmes sont persuadés que ce quadruple meurtre n'a pu être commis que par un proche. Ce drame pourrait être imputé à la fille aînée, Samantha, et à son mari, Eric Bruyas. La garde à vue commence le 14 juin dans les locaux de la gendarmerie de Givors.

48 heures
Épisode 5 - La garde à vue de Jean-Stéphane Saizelet et de Nadège Wiktorska
En juillet 1995, un appel anonyme informe la police que le décès d'un homme, Jean-Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait un meurtre. L'autopsie de son corps récupéré juste avant l'incinération confirme l'homicide. Les policiers interpellent un couple. Mais, lors de cette arrestation, l'homme prétend s'appeler Jean-Bernard Wiktorska, c'est-à-dire qu'il donne l'identité du mort.

48 heures
Épisode 5 - La garde à vue de Jean-Stéphane Saizelet et de Nadège Wiktorska
En juillet 1995, un appel anonyme informe la police que le décès d'un homme, Jean-Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait un meurtre. L'autopsie de son corps récupéré juste avant l'incinération confirme l'homicide. Les policiers interpellent un couple. Mais, lors de cette arrestation, l'homme prétend s'appeler Jean-Bernard Wiktorska, c'est-à-dire qu'il donne l'identité du mort.

48 heures
Épisode 5 - La garde à vue de Jean-Stéphane Saizelet et de Nadège Wiktorska
En juillet 1995, un appel anonyme informe la police que le décès d'un homme, Jean-Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait un meurtre. L'autopsie de son corps récupéré juste avant l'incinération confirme l'homicide. Les policiers interpellent un couple. Mais, lors de cette arrestation, l'homme prétend s'appeler Jean-Bernard Wiktorska, c'est-à-dire qu'il donne l'identité du mort.

48 heures
Épisode 6 - La garde à vue du couple Bruyas
Le 30 mai 1995, à Saint-Andéol-le-Château, près de Lyon, les époux Bébien et deux de leurs enfants périssent dans un incendie qui ravage leur maison. Mais l'enquête démontre que tous sont décédés avant le départ de feu. Ils ont été abattus à bout portant par la même arme. Les gendarmes sont persuadés que ce quadruple meurtre n'a pu être commis que par un proche. Ce drame pourrait être imputé à la fille aînée, Samantha, et à son mari, Eric Bruyas. La garde à vue commence le 14 juin dans les locaux de la gendarmerie de Givors.

48 heures
Épisode 5 - La garde à vue de Jean-Stéphane Saizelet et de Nadège Wiktorska
En juillet 1995, un appel anonyme informe la police que le décès d'un homme, Jean-Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait un meurtre. L'autopsie de son corps récupéré juste avant l'incinération confirme l'homicide. Les policiers interpellent un couple. Mais, lors de cette arrestation, l'homme prétend s'appeler Jean-Bernard Wiktorska, c'est-à-dire qu'il donne l'identité du mort.

48 heures
Épisode 6 - La garde à vue du couple Bruyas
Le 30 mai 1995, à Saint-Andéol-le-Château, près de Lyon, les époux Bébien et deux de leurs enfants périssent dans un incendie qui ravage leur maison. Mais l'enquête démontre que tous sont décédés avant le départ de feu. Ils ont été abattus à bout portant par la même arme. Les gendarmes sont persuadés que ce quadruple meurtre n'a pu être commis que par un proche. Ce drame pourrait être imputé à la fille aînée, Samantha, et à son mari, Eric Bruyas. La garde à vue commence le 14 juin dans les locaux de la gendarmerie de Givors.

48 heures
Épisode 6 - La garde à vue du couple Bruyas
Le 30 mai 1995, à Saint-Andéol-le-Château, près de Lyon, les époux Bébien et deux de leurs enfants périssent dans un incendie qui ravage leur maison. Mais l'enquête démontre que tous sont décédés avant le départ de feu. Ils ont été abattus à bout portant par la même arme. Les gendarmes sont persuadés que ce quadruple meurtre n'a pu être commis que par un proche. Ce drame pourrait être imputé à la fille aînée, Samantha, et à son mari, Eric Bruyas. La garde à vue commence le 14 juin dans les locaux de la gendarmerie de Givors.

48 heures
Épisode 6 - La garde à vue du couple Bruyas
Le 30 mai 1995, à Saint-Andéol-le-Château, près de Lyon, les époux Bébien et deux de leurs enfants périssent dans un incendie qui ravage leur maison. Mais l'enquête démontre que tous sont décédés avant le départ de feu. Ils ont été abattus à bout portant par la même arme. Les gendarmes sont persuadés que ce quadruple meurtre n'a pu être commis que par un proche. Ce drame pourrait être imputé à la fille aînée, Samantha, et à son mari, Eric Bruyas. La garde à vue commence le 14 juin dans les locaux de la gendarmerie de Givors.

48 heures
Épisode 6 - La garde à vue du couple Bruyas
Le 30 mai 1995, à Saint-Andéol-le-Château, près de Lyon, les époux Bébien et deux de leurs enfants périssent dans un incendie qui ravage leur maison. Mais l'enquête démontre que tous sont décédés avant le départ de feu. Ils ont été abattus à bout portant par la même arme. Les gendarmes sont persuadés que ce quadruple meurtre n'a pu être commis que par un proche. Ce drame pourrait être imputé à la fille aînée, Samantha, et à son mari, Eric Bruyas. La garde à vue commence le 14 juin dans les locaux de la gendarmerie de Givors.
Voir toutes les émissions