
La décolonisation britannique : L'art de filer à l'anglaise
La décolonisation britannique : L'art de filer à l'anglaise
Réalisateur :
Deborah Ford
Synopsis
La postérité nous a légué de la fin de l’Empire britannique l’image d’une décolonisation exemplaire. Ainsi, le gouvernement de Sa Majesté aurait su anticiper le vent de l’histoire et assurer aux peuples placés sous sa domination, une transition pacifique vers l’indépendance. Et pourtant ! Entre répression aveugle, manipulations politiques et départs anticipés, la couronne n’a lâché ses joyaux coloniaux qu’au prix des larmes et du sang.
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Romy et Alain, les éternels fiancés
Il était la beauté masculine incarnée. Elle était lumineuse et joyeuse. Elle était la princesse Sissi, il était le Guépard. Il était bourru et français, elle était allemande et tendre. Ils étaient tous les deux touchés par la grâce et se sont aimés éperdument ! Les plateaux furent leurs seuls refuges et ils voulaient croire au bonheur dans les bras l’un de l’autre. Si le couple Romy Schneider/Alain Delon a tant marqué la mémoire collective alors que leur histoire n’a duré que cinq ans, c’est que leurs amours furent passionnelles et tumultueuses, et trouveront plus tard un écho cinématographique dans La piscine, film culte sur l’ennui et le désir de Jacques Deray. A l’époque, les deux comédiens ne sont plus ensemble depuis quelques années déjà mais leurs liens à fleur de peau n’ont jamais été rompus. D’ailleurs, c’est Delon qui imposera Romy au casting de La Piscine, dix ans après que la comédienne allemande avait elle-même offert au jeune Français son premier grand rôle dans Christine. Tout convergeait alors à faire entrer ce film dans la légende du 7ème art ! Ces deux là, bien que remariés, n’aurons jamais réussi à véritablement se quitter même après la mort de Romy. Dans sa lettre d’adieu publiée par le magazine Paris Match au lendemain de la disparition de Romy le 29 mai 1982, il y aura 40 ans cette année, Alain Delon se souvenait : « Souvent, nous nous sommes posés l’un à l’autre cette question d’amoureux : ‘‘Qui est tombé amoureux le premier, toi ou moi ?’’ Nous comptions : ‘‘Un, deux, trois !’’ et nous répondions ‘‘Ni toi ni moi ! Ensemble !’’ J’ai appris un peu d’allemand, près de toi. ‘‘Ich liebe dich’’. Je t’aime. Je t’aime, ma Puppelé » Deux icônes du cinéma, une passion à jamais dans la légende !

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Nuit du 2 août 1793 : Marie-Antoinette, la dernière reine de France, est transférée à la Conciergerie. Son époux a été guillotiné, ses enfants lui ont été arrachés, les royaumes d’Europe l’ont abandonnée. Et le peuple de France réclame sa tête. Victime expiatoire d’une Révolution à la dérive, Marie-Antoinette se révèle d’une force et d’une dignité insoupçonnées. À travers les arcanes de ce procès nouvellement décrypté par l’historien Emmanuel de Waresquiel, le film revient sur les derniers jours de Marie-Antoinette. La Révolution lui donne l’envergure d’une reine, sa mort tragique la rend immortelle.

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Il s’appelle Francesco Lotoro, il a 49 ans. On le surnomme le MAESTRO. Pianiste et compositeur hors norme, au talent reconnu, Francesco vit à Barletta, dans le sud de l’Italie. Epaulé par son épouse et entouré de son inédit “Orchestre de musique concentrationnaire”, cet homme fascinant redonne voix aux musiciens oubliés. Pas n’importe lesquels : ceux qui furent déportés, emprisonnés, et qui souvent moururent dans les innombrables camps d’internement Nazis.
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