Les évadés du troisième Reich
Les évadés du troisième Reich
Réalisateur :
Philippe Tourancheau
Synopsis
En 1944, des officiers anglo-américains détenus en Pologne parviennent à s'échapper en creusant un tunnel. Une cavale qui a inspiré le célèbre film « La Grande Evasion ». Ce mode opératoire rocambolesque avait déjà été utilisé par des Français en septembre 1943. Près de 132 hommes se sont évadés ainsi. D'anciens officiers prisonniers racontent leurs incroyables aventures chèrement payées.
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L'histoire au scalpel
Épisode 6 - Napoléon à Sainte-Hélène, le dernier acte
Le 5 mai 1821, Napoléon Bonaparte s'éteint à l'âge de 51 ans, après cinq ans d'exil sur l'île de Sainte-Hélène. Plus de 200 ans plus tard, Philippe Charlier rouvre un des "cold cases" les plus célèbres de l'histoire, une enquête unique sur les derniers moments de l'Empereur pour tenter de percer les mystères des circonstances de sa mort. Napoléon a-t-il été empoisonné à l'arsenic par ses geôliers anglais ? Dans quelles conditions l'autopsie s'est-elle déroulée ? Etait-il atteint d'un cancer ? Pourquoi existe-t-il autant de masques mortuaires de l'Empereur ? Pour la première fois, Philippe Charlier a obtenu l'autorisation de se rendre sur l'île de Sainte-Hélène pour y mener une enquête archéologique et scientifique.
Empire Inca : L'histoire révélée
L'histoire des peuples précolombiens, et en particulier celle des Incas, a souvent été détournée par les Conquistadors, et leurs récits ont longtemps servi pour écrire l'Histoire. Les recherches menées depuis plus de cinquante ans ont pourtant permis de se libérer de ces textes, voire de les rectifier. Le récit officiel, élaboré à partir des textes des Conquistadors, présentait les Incas comme de sanguinaires guerriers qui auraient conquis en l'espace d'un siècle seulement un territoire démesuré de plus d'un million de km2, comparable à l'Empire romain. Ce géant inca, réputé sans écriture, se serait ensuite écroulé comme un vulgaire château de carte face à une poignée de Conquistadors. Cette dernière décennie a permis de lever le voile sur des pans entiers de l'histoire inca : on sait désormais que leur berceau ne se trouverait pas sur les hauts plateaux du mythique lac Titicaca, et surtout, que le monde inca ne serait pas un Empire sans écriture. Sabine Hyland, archéologue de renommée mondiale, tente depuis quelques années de décrypter les khipus, sortes de cordelettes à nœds, et qui ont fait office de "pierre de Rosette" inca. Pour en avoir la certitude, elle va, d'ici les prochains mois, étudier certains spécimens rares conservés dans un lieu pour le moins inattendu : les réserves du Vatican. De Cuzco à Bruxelles, de l'Argentine au Machu Picchu, le patient travail de ces archéologues péruviens, belges, argentins et américains permet aujourd'hui de dévoiler un nouveau visage du géant précolombien...
Stephen King : Le mal nécessaire
Consacré "roi de l'horreur" de la littérature moderne, il s'illustre dans d'autres genres comme le fantasy, la science-fiction ou le roman policier. Plusieurs de ses ouvrages ont été adaptés au cinéma comme SHINING par Stanley Kubrick, MISERY par Rob Reiner ou DEAD ZONE par David Cronenberg De quoi a peur Stephen King ? "Mais de tout !", assure le prolixe romancier américain. Né en 1947 dans le Maine, où il vit toujours, il s’est imposé dans les années 1970 comme le roi du fantastique et de l’horreur, vendant autour du monde en un demi-siècle plus de 350 millions d’exemplaires de ses best-sellers. Influencé dans sa jeunesse par les œuvres de Richard Matheson et les classiques du fantastique (ceux de H. P. Lovecraft, de Mary Shelley et de Bram Stoker), marqué aussi bien par l’arrestation d’un tueur en série dans les années 1950 que par l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy, ce chantre de la littérature populaire éclaire la genèse de quelques-uns de ses plus grands succès de librairie et leur adaptation, pour la télévision ou le cinéma, au fil d'interviews réunies par Julien Dupuy dans un éclairant portrait documentaire. Entre deux extraits de films, Stephen King y confie ses souvenirs d’enfance – la figure du père, qui les abandonna, sa mère et lui, quand il avait 2 ans –, sa jeunesse impécunieuse dans une bourgade du Maine, ses méthodes de travail, mais aussi sa lutte contre ses démons intérieurs (la dépendance à l’alcool notamment), sa défiance envers les machines, dont il a mis en scène la révolte dans Maximum Overdrive, son unique film en tant que réalisateur, ou le soutien qu’il apporte en philanthrope aux bibliothèques afin de permettre au plus grand nombre d’avoir accès aux livres. Longtemps méprisé par la critique littéraire, il a depuis remporté plusieurs prix prestigieux comme le prix Hugo, le prix Locus ou le National Book Award.
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