
Nomade des mers
Brésil, Rio de Janeiro
Nomade des mers
Brésil, Rio de Janeiro
Réalisateur :
Laurent Sardi
Synopsis
Après avoir longé les côtes brésiliennes, le Nomade des mers fait escale à Rio de Janeiro. Comment se débarrasser des plastiques qui jonchent ses plages, parmi les plus belles du monde ? Bruno Temer, designer, fait découvrir à Corentin sa machine à transformer le plastique en figurines pour les touristes. Une seconde vie originale pour ces éléments encombrants…
Prochaine diffusion Dimanche 10 Juillet à 04:30 | Durée: 00:00:30
Voir aussi

Nomade des mers
Cap Vert, île de Santiago
L’équipage du Nomade des Mers arrive à Santiago, l’île principale de l’archipel capverdien. Corentin cherche un système low-tech pour améliorer l'autonomie de son potager à bord, en consommant le moins d’eau possible. Dans la petite baie de Tarrafal, sur une plage magnifique, il rencontre Sergio Monteiro Roque. Cet ingénieur agronome est le premier à avoir développé une technique de culture hors-sol appelée hydroponie. Car le manque d’eau oblige le Cap-Vert à importer 80 % de sa nourriture…

Nomade des mers
Concarneau, le départ
Sur le catamaran Nomade des Mers, l'ingénieur Corentin de Chatelperron voyage à travers le monde à la découverte des perspectives de la low-tech. Il va voyager avec deux amis à la rencontre d'inventeurs locaux. Il adaptera leurs trouvailles à la vie à bord, pour vivre en autonomie tout en protégeant la planète. Dans ce premier épisode, on assiste aux préparatifs intenses de la croisière et à la mise en œuvre des low-tech de première nécessité : potager et poulailler de bord ou étonnante perceuse/machine à coudre à pédales. Une séduisante aventure maritime pour repenser nos usages.

Nomade des mers
Brésil, Récife
Après trois semaines de navigation, le Nomade des mers atteint enfin les côtes brésiliennes. À Recife, dans le nord du pays, Corentin rencontre Roberto, professeur au Serta, un centre de formation à l’agro-écologie et à la permaculture. L’endroit idéal pour faire le plein de low-tech : des fours solaires y côtoient des pompes à eau, un séchoir pour les fruits et même un biodigesteur, une machine qui transforme la bouse de vache en gaz et en engrais.

Nomade des mers
Maroc, Agadir
Après un passage difficile par le redoutable golfe de Gascogne, le Nomade des Mers s'ancre avec soulagement à Agadir, sa première étape. Corentin et son équipage sont venus rencontrer Mehdi. Ce jeune inventeur local, aidé d'un copain ingénieur, a trouvé le moyen de produire de l’eau douce à partir d’une ressource quasi inépuisable : l’océan ! Un prototype qu'il n'a testé qu'à toute petite échelle, et que les jeunes gens vont adapter, avec l'aide d'un potier, à la vie à bord.

Nomade des mers
Sénégal, Dakar
Cap au sud, le Nomade des mers continue son périple à travers l’Atlantique. Après avoir longé les côtes du Sahara, le navire mouille à Dakar. Corentin et ses amis ont l'objectif d'équiper le bateau d'une source d'énergie électrique – un problème majeur au Sénégal, où seulement 40 % de la population sénégalaise y a accès. Dans un fablab local de "makers", ces rois du recyclage qui bricolent des appareils astucieux face à la pénurie, ils rencontrent Abdulaye, un jeune réparateur de télévisions venu du Mali. Passionné par le sujet, il va aider les voyageurs à transformer l'énergie éolienne en électricité.

Nomade des mers
Sénégal, Toubacouta
Après Dakar, le Nomade des mers s’enfonce dans la mangrove, dans le delta du Sine Saloum, non loin de la frontière gambienne. Comme des millions de personnes, les jeunes marins cuisinent au bois à bord. Mais ce mode de cuisson constitue désormais l'une des causes majeures de déforestation au Sénégal et dans le monde. À Toubacouta, grâce à l'ONG de Jean, les femmes ont mis au point un combustible de remplacement, tiré de déchets agricoles. Elles apprennent aux visiteurs à fabriquer ce charbon vert.

Nomade des mers
Sénégal, Toubacouta
Après Dakar, le Nomade des mers s’enfonce dans la mangrove, dans le delta du Sine Saloum, non loin de la frontière gambienne. Comme des millions de personnes, les jeunes marins cuisinent au bois à bord. Mais ce mode de cuisson constitue désormais l'une des causes majeures de déforestation au Sénégal et dans le monde. À Toubacouta, grâce à l'ONG de Jean, les femmes ont mis au point un combustible de remplacement, tiré de déchets agricoles. Elles apprennent aux visiteurs à fabriquer ce charbon vert.

Nomade des mers
Sénégal, Toubacouta
Après Dakar, le Nomade des mers s’enfonce dans la mangrove, dans le delta du Sine Saloum, non loin de la frontière gambienne. Comme des millions de personnes, les jeunes marins cuisinent au bois à bord. Mais ce mode de cuisson constitue désormais l'une des causes majeures de déforestation au Sénégal et dans le monde. À Toubacouta, grâce à l'ONG de Jean, les femmes ont mis au point un combustible de remplacement, tiré de déchets agricoles. Elles apprennent aux visiteurs à fabriquer ce charbon vert.

Nomade des mers
Sénégal, Toubacouta
Après Dakar, le Nomade des mers s’enfonce dans la mangrove, dans le delta du Sine Saloum, non loin de la frontière gambienne. Comme des millions de personnes, les jeunes marins cuisinent au bois à bord. Mais ce mode de cuisson constitue désormais l'une des causes majeures de déforestation au Sénégal et dans le monde. À Toubacouta, grâce à l'ONG de Jean, les femmes ont mis au point un combustible de remplacement, tiré de déchets agricoles. Elles apprennent aux visiteurs à fabriquer ce charbon vert.
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