
Tony Gatlif, l'indigné
Tony Gatlif, l'indigné
Réalisateur :
Emmanuel Barnault
Synopsis
Portrait du réalisateur Tony Gatlif dont l’œuvre célèbre la joie de vivre, l’énergie, l’inventivité, le déracinement et fait l’éloge d’une communauté soudée mais en mouvement. Cinéma de corps et d’âme, il y a toujours chez Tony Gatlif un double voyage : le périple physique, dans lequel s’élancent les protagonistes sur des milliers de kilomètres, et leur cheminement métaphorique, leurs quêtes éperdues, leur recherche de repères. Ses histoires sont des successions de coups de foudre, de fulgurances, parfois interrompues par l’abattement ou le malheur mais dont toujours on se relève, fort de son désir. Une oeuvre baignée de musique, le grand amour et la plus grande source d’inspiration de Tony Gatlif.
Prochaine diffusion Lundi 30 Janvier à 21:00 | Durée: 00:01:00
Rediffusions
Voir aussi

Sculptrices, ni muses ni modèles
Pygmalion avait défini le lien entre muse et sculpteur depuis toujours : l’homme est le créateur et la femme la muse. Cependant, le combat des femmes sculptrices pour leur art n’a jamais cessé d’exister. Ce documentaire nous propose de retracer le destin des premières femmes sculptrices et de leurs œuvres, reconnues bien trop tard aux yeux du monde entier.

L'amour à l'oeuvre
Épisode 5 - Frida Kahlo et Diego Rivera
Frida, la peintre aux autoportraits en quête de mexicanité, poursuivie par sa douleur. Diego, l’ogre infidèle, le peintre muraliste engagé qui peint comme un géant. Une histoire entre une belle et une bête, mais surtout, une relation ardente entre deux âmes sœurs unies par l’amour de leur pays.

Le scandale impressionniste
De nos jours, les peintures impressionnistes sont exposées dans les musées les plus prestigieux. Pourtant, ce mouvement pictural n'a pas toujours suscité l'admiration. À la fin du XIXe siècle, les toiles de Monet, Manet, Caillebotte, Cézanne ou encore Renoir, figures du mouvement, font l'objet de violentes critiques pour leur esthétisme en rupture avec la peinture des Salons officiels. Préférant le réel aux scènes historiques et mythologiques, ils sont considérés comme hérétiques et leurs toiles ne se vendent pas. Raillés et humiliés par la presse, ils ont pourtant ouvert la voie à la peinture moderne.
Voir toutes les émissions